Bachelet, Merkel, Royal, Clinton, les femmes passent la seconde
Hilary Clinton a enfin annoncé sa candidature à la présidentielle des Etats-Unis en 2008. Les femmes sont en train de faire une démonstration de force sur la scène politique mondiale.
Ah les femmes ! Quand on les regarde, au top de la politique, ou presque, on penserait que la révolution est en marche. L'espoir renaît, quand on considère qu'une femme ne gouvernera pas comme un homme. Elle sera certainement plus douce, moins assoiffée de pouvoir, dévouée à sa cause. Rien n'est moins sûr, car à l'heure actuelle, les bilans des politiques féminines ne sont soit pas objectifs, soit prématurés. Cependant, il semble évident que les femmes ne sont en fait que des hommes ordinaires. Aucun pays ayant à sa tête une femme n'a fait de radicaux changements dans son fonctionnement.
En France avec Ségolène Royal qui tente de prendre le trône présidentiel, le débat est lancé : une femme au pouvoir sera-t-elle un bouleversement dans la politique du pays ? Pour ma part, non. Enarque, Mme Royal a été formée de façon strictement identique aux hommes qui sortent de la même école (c'est-à-dire pratiquement tous les hautes personnalités politiques du pays). L'argument féminin n'est qu'un subterfuge pour nous faire avaler ses désirs d'avenir, mais surtout son manque de charisme et de réaction. Ségolène Royal n'a pas la tête de l'emploi.
Peut-être a-t-elle les idées fortes, mais malheureusement cela ne suffit pas à diriger un pays. La fonction de président, en France, est aussi d'être le symbole du pays à l'étranger, et tout montre que Royal n'a pas les capacités à assumer cette fonction. Il s'agit aussi de savoir réagir de façon spontanée et juste (par rapport à sa politique) face aux questions voire aux mécontentements de la population. Je suis désolée de vous informer que Ségolène Royal ne sait répondre à une question sans qu'un conseiller en communication ne lui fournisse de sa plume la réponse. Autant dire que même si elle en a dans la tête, elle ne sait pas l'utiliser. A quoi bon ?
Il serait triste que la France élise une femme juste en raison de son sexe. Heureusement, ce n'est pas ce qui s'est passé dans la plupart des autres pays dirigés par des femmes à l'heure actuelle. Angela Merkel, par exemple, assume très bien sa position, tout comme Michèle Bachelet. Ce sont des femmes qui méritaient leurs fonctions. Chez nous, il va peut-être falloir attendre, au moins cinq ans.
Ah les femmes ! Quand on les regarde, au top de la politique, ou presque, on penserait que la révolution est en marche. L'espoir renaît, quand on considère qu'une femme ne gouvernera pas comme un homme. Elle sera certainement plus douce, moins assoiffée de pouvoir, dévouée à sa cause. Rien n'est moins sûr, car à l'heure actuelle, les bilans des politiques féminines ne sont soit pas objectifs, soit prématurés. Cependant, il semble évident que les femmes ne sont en fait que des hommes ordinaires. Aucun pays ayant à sa tête une femme n'a fait de radicaux changements dans son fonctionnement.
En France avec Ségolène Royal qui tente de prendre le trône présidentiel, le débat est lancé : une femme au pouvoir sera-t-elle un bouleversement dans la politique du pays ? Pour ma part, non. Enarque, Mme Royal a été formée de façon strictement identique aux hommes qui sortent de la même école (c'est-à-dire pratiquement tous les hautes personnalités politiques du pays). L'argument féminin n'est qu'un subterfuge pour nous faire avaler ses désirs d'avenir, mais surtout son manque de charisme et de réaction. Ségolène Royal n'a pas la tête de l'emploi.
Peut-être a-t-elle les idées fortes, mais malheureusement cela ne suffit pas à diriger un pays. La fonction de président, en France, est aussi d'être le symbole du pays à l'étranger, et tout montre que Royal n'a pas les capacités à assumer cette fonction. Il s'agit aussi de savoir réagir de façon spontanée et juste (par rapport à sa politique) face aux questions voire aux mécontentements de la population. Je suis désolée de vous informer que Ségolène Royal ne sait répondre à une question sans qu'un conseiller en communication ne lui fournisse de sa plume la réponse. Autant dire que même si elle en a dans la tête, elle ne sait pas l'utiliser. A quoi bon ?
Il serait triste que la France élise une femme juste en raison de son sexe. Heureusement, ce n'est pas ce qui s'est passé dans la plupart des autres pays dirigés par des femmes à l'heure actuelle. Angela Merkel, par exemple, assume très bien sa position, tout comme Michèle Bachelet. Ce sont des femmes qui méritaient leurs fonctions. Chez nous, il va peut-être falloir attendre, au moins cinq ans.